Regardons cette image qui a été créée par un faisceau de photons dans l'expérience de diffraction.
Nous pouvons raisonnablement considérer le photon unique comme une distribution de probabilité, c'est un nuage avec des bords doux.
La figure d'interférence observée dans les expériences peut nous donner quelques indications sur l'interaction entre les photons et la fente..
Si les photons étaient de simples balles, ils passeraient à travers la fente ou heurteraient le métal et rebondiraient., donc une fente n'aurait pour effet que de resserrer le faisceau.
Mais le photon suit des règles probabilistes similaires à ce que suivrait une balle à bords souples (nuage de probabilité). On peut donc imaginer (sans prétendre que c'est le vrai fonctionnement au niveau microscopique) certains comportements similaires aux comportements réfractifs classiques, pressant, déformation et rebond, qu'une balle en plumes de caoutchouc (avec des bords doux) il pourrait suivre lorsqu'il est tiré à grande vitesse à travers une faille.
On peut donc vérifier que des modèles simples basés sur des rebonds multiples et des déformations élastiques (modèles probabilistes de réfraction) ils pourraient facilement provoquer une distribution de probabilité des directions de sortie du photon exactement la même que ce que nous voyons dans la figure d'interférence. Pour entrer plus en détail, les calculs peuvent mettre en évidence des directions préférentielles (autour duquel se créent les points lumineux) et des cuspides qui forcent le photon à dévier d'un des deux côtés et qui génèrent donc les zones sombres (avec une probabilité nulle ou très faible) .
Nous n'essayons pas de ressusciter les théories des variables cachées
qui sont maintenant enterrés au-delà de tout doute raisonnable.
Nous connaissons les inégalités de Bell et n'avons pas l'intention de les réfuter.
Ma pur conservando la totale libertà di scelta per le particelle subatomiche
sont également possibles diverses "simplifications" pour l'utilisation de nous, les humains.
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Dans notre interprétation, la créativité stochastique reste inchangée,
mais nous suggérons de le déplacer un peu plus loin, où naît le photon,
due à l'inversion de population dans les strates quantiques,
c'est-à-dire à l'intérieur du laser.
La zone de création de photons, où les photons sortent de nulle part,
apparaît comme le lieu le plus approprié pour placer la créativité quantique.
Ce changement place toute la créativité dans une singularité
et donc simplifie notre vision de ce qui se passe
dans la zone entre la création (laser), la fente et l'écran.
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En gardant toujours à l'esprit que ce sont les seuls punti di vista limitati dalle possibilità del nostro linguaggio, utile per capirci tra umani, maman valable uniquement pour décrire des comportements macroscopiques et non des mécanismes quantiques. Possiamo quindi trasformare la seguente immagine, qui décrit la créativité généralisée:
Dans l'image suivante qui décrit une créativité concentrée dans les points de création de photons:
Dans cette dernière image, nous voyons des photons avec des bords doux (nuages de probabilité) qui sortent du LASER avec des positions et des directions légèrement différentes.
Ces petites variations ont été "choisies" par les photons eux-mêmes au moment de leur création et sont totalement non déterministes.
A partir de ce moment, de petites différences de trajectoire peuvent expliquer les schémas d'interférence, avec des mécanismes probabilistes similaires à ceux de la réalité classique, donc sans avoir besoin d'émettre l'hypothèse de "bizarreries quantiques" le long du chemin qui va du LASER à l'écran.
De plus, suite à cette explication, nous n'avons plus besoin d'imaginer une fonction d'onde qui s'effondre lorsque nous l'observons. Les choix aléatoires de photons individuels se produisent même si personne ne les observe et cela se démontre facilement avec l'expérience « Accumulation de photons » que vous pouvez retrouver dans la dernière partie de cette page dédiée aux expériences.
Mais en réalité il n'est pas bon d'entrer dans ces "explications", pas tant à cause de l'impossibilité de les imaginer mais parce que nos concepts et nos mots ne valent que pour décrire des comportements collectifs et des règles statistiques qui se produisent dans le monde macroscopique.
En fait, on pourrait tout imaginer, par exemple, l'expansion dans tout l'univers d'une fonction d'onde qui s'effondre ensuite en un point, mais ce n'est qu'une des nombreuses hypothèses possibles sur le fonctionnement des photons (et d'autres particules subatomiques).
Il vaudrait donc mieux éviter totalement ces "explications" et réaliser que le fonctionnement quantique des particules ne peut être décrit avec les mots et les concepts développés par nous pour notre monde macroscopique.
Les seules choses que nous pouvons dire sont les résultats des observations, c'est-à-dire, par exemple, qu'un photon naît à l'intérieur du laser et que, après quelques centaines de picosecondes, il se transforme en une charge électrique à un certain point dans le détecteur CMOS d'une caméra. Et on peut aussi dire qu'un grand nombre de particules se comportent statistiquement de certaines manières, suivant la loi des grands nombres.
Pour qui se demander ce que fait un seul photon dans ces picosecondes, comment il interagit avec les objets et pourquoi il fait ces choses sont de mauvaises questions. La bonne réponse n'est pas d'essayer de décrire ses opérations avec des effondrements fantômes de la fonction d'onde, mais simplement réaliser que ce ne sont pas des mécanismes qui peuvent être décrits avec notre langage et nos concepts macroscopiques.
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D'après nos calculs, ce point de vue peut coexister avec les expériences d'inégalité de Bell, mais pour être sûr nous attendons l'approbation du prof. Anselmi
(et éventuellement nous corrigerons cette page).
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En conclusion, ce que nous définissons “lois immuables de la nature” ils ne sont valables que pour notre taille. Mais aux dimensions subatomiques, très grandes vitesses ou masses infinies (comme dans les singularités des trous noirs), tutte i concetti su cui basiamo i nostri pensieri perdono di consistenza. Il tempo non scorre più nel modo che immaginiamo, non si può più definire quale evento preceda l’altro e ancor meno definire che un evento sia la “causa” di un altro.
In un nostro paragrafo sulla programmation non déterministe c’è questa frase:
“Non stiamo trattando con le immutabili leggi della natura
ma solo coi rami dei nostri alberi
e con la nostra limitata capacità mentale da scimmie appena un po’ evolute.
Et c'est seulement notre impudeur impudique qui nous fait croire que nous sommes quelque chose de plus
d'un point entre deux éternités qui s'appellent avant et après.”